T305 蓮生活佛法文文集163冊-度過生死的大海- La transmigration par les Six Voies sous l'oeil céleste天眼中的六道輪迴

■Le bouddha vivant Lian-sheng    Sheng-yen Lu

■Le Franchissement de l'océan de vie et de mort

  ~Le plus grand événement de la vie~

■Traduit du chinois par Sandrine Fang

■Copyright © Sheng-yen Lu ©2012, Éditions Darong

 

Dans mon oeil céleste, la vie, la mort et le samsâra (le cycle des existences) sont non seulement multiples, mais aussi renaissants sans cesse.

Le mot « transmigration  » est adéquatement utilisé, comme une roue qui tourne sans arrêt. Cependant, le genre humain ignore depuis toujours qu'il ne s'agit pas uniquement d'une roue, mais, dans mon oeil, d'innombrables roues qui tournent sans fin.

Le samsâra sans clarté et sans commencement :

Puisqu'il n'a pas de commencement absolu,

Il est certain qu'il n'a pas de fin définitive.

Il y a en cet endroit une apparition, il y a également une disparition. Pour cela, il n'y a que le bouddhisme qui parle de la délivrance du cycle des existences pour atteindre la véritable « nature de la vacuité » ou l'état suprême du nirvâna, ce qui est la voie de la bodhi où se transcende le samsâra.

Ce que je vois, c'est :

–le soi matériel ;

–le soi divinisé du brahmanisme ;

–l'aura de l'islam ;

–l'âme du christianisme ;

–l'état intermédiaire du bouddhisme tantrique.

Je dis en toute sincérité à tout le monde que la fonction du corps et du coeur se trouve justement là-dedans ; c'est radicalement un corps complexe qui change sans arrêt, successivement ; c'est un état instantané d'une série de causes et d'effets qui se produisent sans fin. Pour moi, ce n'est pas uniquement après la mort qu'on subit le samsâra, mais avant la renaissance, des phénomènes de la transmigration apparaissent déjà.

Je connaissais un homme célèbre, un grand propriétaire de biens, son rang social était haut et éminent, et dans le domaine de la politique et celui de l'économie, il était un personnage excellent.

Pourtant, avec mon oeil céleste, j'ai constaté que son esprit était entré dans une nouvelle vie. Bien qu'il ne soit pas encore mort, tout comme dans un nouveau corps, il s'était réincarné depuis longtemps en un grand serpent. Autrement dit, dès qu'il serait mort, son corps complexe d'âme et de matière serait un grand cobra. Sa mort serait précisément le commencement d'une vie sous une autre forme.

Mais ! Est-ce que vous le croyez ? Cet homme réputé n'était pas encore mort, pourtant, j'ai remarqué qu'il avait commencé depuis longtemps à subir le samsâra dans les Six Voies.

Avec mon oeil céleste, j'observe les états phénoménaux selon lesquels les êtres sont constitués d'agrégats :

 

–Une femme est depuis longtemps possédée par l'esprit d'un rat.

–Une autre femme est hantée par l'esprit d'un renard élevé par un Indien.

–Un homme est fréquenté par l'esprit d'un ours.

Beaucoup d'enfants sont possédés par l'esprit d'un singe, mais d'après le diagnostic médical, ils sont considérés comme souffrant de psychose maniaco-dépressive, (ce sont des enfants agités).

Parmi les pratiquants de la perfection, le nombre de ceux qui sont possédés par un démon est aussi très important, car s'ils ne s'exercent pas dans le droit dharma, s'ils ne se cultivent pas correctement, alors aussitôt qu'ils marcheront sur le sentier dépravé du démon vicieux, ils seront facilement possédés par le diable. (Plus ils mettent la pratique en application, plus ils deviennent dédaigneux, fanfarons, délirants et plus ils s'agrippent aux puissants pour réussir et chercher le renom et le profit.)

J'ai vu qu'une fille de six ans à peine heurtait chaque nuit sa tête contre son lit, en faisant du bruit, pif ! paf !

Son médecin traitant avait les mains liées.

Les grands moines bouddhistes n'avaient aucun recours.

Les médiums se trouvaient impuissants.

Les talismans et les incantations ne produisaient aucun effet.

Car cette petite enfant avait tué dans sa vie antérieure une personne au lit, et l'esprit de ce mort venait réclamer sa dette de sang. Alors, dans sa vie présente, la fillette devait rembourser sa dette par la douleur causée par le heurt de sa tête contre le lit. (On appelle cette situation la possession d'un spectre.)

Avec mon oeil céleste, j'ai observé les patients des grands hôpitaux : la gorge incisée, un rein enlevé, le coeur transplanté, le foie coupé, le crâne ouvert, l'intestin raccourci, le foie déchiré, les membres amputés… (Ce sont des supplices de l'enfer.)

Avec mon oeil céleste, j'ai examiné plusieurs politiciens, grands personnages de la politique, pleins de pouvoirs pour décider de la vie et de la mort. L'image d'un grand roi asura apparaît sur leur visage, car ils prennent du plaisir dans la lutte de pouvoir et le massacre. La guerre ne retrouve jamais le jour de la paix. (Ils ont transmigré depuis longtemps en asura.)

La transmigration dans les Six Voies est gravée visiblement ou non sur le visage du genre humain, la différence ne provenant que de la lourdeur ou de la légèreté du karma négatif.

Les Six Voies du samsâra sont : la voie du Ciel, la voie de l'Humanité, la voie de l'Asura, la voie de l'Enfer, la voie de l'Esprit affamé, la voie de l'Animalité. Tout cela n'est rien d'autre qu'une rétribution karmique de la causalité conditionnant la vie antérieure, la vie présente et la vie prochaine. Dans mon oeil céleste, l'âme suicidée est, pareillement, fort pitoyable, car même si elle transmigre en un être humain, celui-ci devient effectivement :

–sourd-muet ;

–débile ou estropié ;

–emporté par des syndromes étranges et des maladies rares.

Avec mon oeil céleste, j'ai observé une femme entre deux âges. Elle avait pris refuge auprès du bouddha vivant Lian-sheng, Sheng-yen Lu. Depuis plusieurs vies, elle n'avait pas commis un acte, un forfait provoquant la colère du Ciel, et dans cette vie présente, elle s'efforçait de réciter le nom du Bouddha, de psalmodier des incantations et de pratiquer le Dharma tantrique du Vrai Bouddha.

Actuellement, cette personne continue à secourir ses voisins, ses collègues, ses parents proches, ses amis, et à les convertir au bouddhisme.

Elle n'est pas encore bonzesse mais, en tant que disciple laïque, elle seconde son maître vénérable, en vue de secourir et convertir les êtres vivants.

Elle suit scrupuleusement les observances :

–ne pas tuer ;

–ne pas voler ;

–ne pas se débaucher ;

–ne pas mentir ;

–ne pas s'enivrer.

Notamment pour la parole, elle n'articule pas de propos égrillards ni de propos mensongers, elle n'a pas de double langage et ne prononce pas d'injures. Depuis toujours, elle ne parle pas beaucoup et ne fait pas de bavardage.

Avec les gens et dans les affaires du monde, elle ne s'attire ni plainte ni rancune.

Elle est fort miséricordieuse, en voulant donner à tous les êtres vivants la paix et la joie. Elle a pris conscience de la grande souffrance des êtres animés, en voulant les libérer de la souffrance. Elle s'attache à l'idée d'avoir un coeur de compassion et d'affliction pour les êtres vivants. À savoir, dès que celui-ci est formé, douze intérêts invisibles sont alors générés à la suite :

–être constamment accompagné par le bonheur ;

–avoir un sommeil doux et tranquille ;

–être protégé par des esprits divins ;

–être respecté par tout le monde ;

–se dispenser de toutes les nuisances ;

–s'éloigner des lieux dangereux ;

–ne pas se noyer ;

–ne pas se consumer par les flammes ;

–obtenir tous les profits ;

–acquérir le renom sans le chercher ;

–monter dans le Monde de Brahmâ① ;

–aller renaître à la Terre pure de la joie parfaite.

Elle a également acquis la méthode du non-écoulement qui n'est pas l'écoulement matériel mais l'absence d'ennuis. Les ennuis ou les tourments proviennent de l'avidité, de la colère et de l'ignorance. Jour comme nuit, les ennuis s'échappent sans cesse des Six Racines. Elle n'est ni avide, ni coléreuse, ni ignorante, elle est une véritable pratiquante de la perfection.

Avec mon oeil céleste, j'ai examiné cette disciple et j'ai remarqué qu'il y avait exactement au milieu de ses deux sourcils une lumière blanche subtile, ce qui est l'une des trente-deux caractéristiques remarquables que posséderaient les bouddhas et les bodhisattva.

Je fus frappé d'étonnement.

Je témoigne avec corroboration qu'elle atteint déjà la Terre immaculée, fruit de rétribution dans les dix étapes de la carrière du shrâvaka (disciple auditeur), du pratyeka-buddha (illuminé solitaire) et du bodhisattva. Elle réalisera bientôt l'état du bodhisattva.

Dans une méditation profonde, elle a discerné mon apparition ainsi que celles d'une centaine de bodhisattva. Ces derniers et moi-même nous sommes manifestés avec notre corps de rétribution portant tous une grande couleur céleste. Que c'était majestueux ! Que c'était excellent ! Que c'était émouvant !

Je dis : « Cette disciple renaîtra certainement dans le royaume du Bouddha. »

 

 

①Le Monde de Brahmest constitupar les dix-hit cieux du monde des formes.

T304 蓮生活佛英文文集200-開悟一片片The Supremely Enlightened One 無上的覺悟者

■Book 200 - Pages of Enlightenment

■Written by Master Sheng-yen Lu 

■Chapter sixteen 

For more information, please call +1(510)473-4818 or fax +1(510)437-1987.

Contact Address: 3440 Foothill Blvd. Oakland CA 94601, U.S.A.

 

 

I can say that I don't need to learn anymore! I can also say that I don't need to cultivate anymore! This is because I am someone who is supremely enlightened.

Anyone who hears this declaration would certainly respond that this person is insane, arrogant, and shameless! “Is this person crazy? How can this person reach the state of the Buddha? He must be a big fraud, a great charlatan, this Sheng-yen Lu! A great conman, this Sheng-yen Lu! The greatest fraud, this Sheng-yen Lu!” The people of this world will forever criticize me, even after I die, saying that the world only has one Buddha, Shakyamuni Buddha. There isn't a second Buddha, Sheng-yen Lu.

I will earnestly tell everyone: Fahua Xuanzan [A commentary on the Lotus Sutra] states, “The Three Higher Trainings are discipline, meditation, and wisdom. Diligently cultivating these trainings is called 'have learned' [saiksa]. Once these trainings are perfected, the cultivation may cease. This is called 'non-learning' [asaiksa].”

The Fahua Jiaxiangshu [another commentary on the Lotus Sutra] states, “If one studies with wholehearted devotion to find the supreme truth and practices with vigor and perseverance, then it is called 'learning.'  If the heart seeking for the truth is fulfilled and there is no  need to progress further, it is called 'non-learning.'”

The Path of Non-learning is one of the three paths. It is the path which severs the confusion of the Three Realms, realizes and experiences the supreme truth, attains perfect wisdom and exhausts all needs for additional learning. Non-learning really does exist.

I also want to point out that the Kagyu School's Mahamudra stages are:

 

1. One-pointedness Yoga

2. Simplicity Yoga

3. One-taste Yoga

4. Non-meditation Yoga

 

Non-cultivation [which refers to non-meditation yoga] does exist.

I will let everyone take a look at my enlightenment! My essence is the bliss of nirvana. Pay attention, everyone. Nirvana is non-learning; nirvana is non-cultivation; nirvana is meditation; nirvana is always there; nirvana is making no distinction.

Pay attention, everyone:  My physical manifestation is reincarnation. Reincarnation is the Buddha; reincarnation is the world's savior; reincarnation is exiting meditation; reincarnation is one with supreme enlightenment; and reincarnation is non-differentiation.

My validation of enlightenment is: nirvana and reincarnation is one-and-the-same, reincarnation and nirvana is one-and-the-same. Nirvana is reincarnation. Reincarnation is nirvana.

That was why I said, “Non-learning is also learning. Non-cultivation is also cultivation. This is called the learning of non-learning, the cultivation of non-cultivation. I have given a very detailed explanation and everyone should reflect on it. If you still don't understand, I should hit you with a stick. You might as well stay confused forever! You're killing me!

T304 蓮生活佛法文文集163冊-度過生死的大海-La Bonne Disparition et la montée au ciel善逝與昇天

■Le bouddha vivant Lian-sheng    Sheng-yen Lu

■Le Franchissement de l'océan de vie et de mort

  ~Le plus grand événement de la vie~

■Traduit du chinois par Sandrine Fang

■Copyright © Sheng-yen Lu ©2012, Éditions Darong

Dans le Roman historique de la mythologie dans la haute antiquité, j'admire la légende de Huang Ti (le Souverain Jaune) qui monta au ciel. Huang Ti, personnage de l'Antiquité chinoise, qui avait vaincu Ch'ih Yu, était à l'origine un dieu venant du ciel. Les personnages mythologiques de la haute antiquité de la Chine comme Fu Hsi, Shen Nung, Hsüan Yüan, Sui Jen, Yu Ch'ao, Nü Kua, et même Yao, Shun, Yü, Ti Chün, Ti K'u, Hou I, Ch'ang E, etc., s'ils n'étaient pas des êtres divins, étaient alors mi-hommes, mi-dieux.

Huang Ti, au temps antique, adorait se promener pour jouir des beautés du paysage. Il demandait souvent à deux de ses ministres de l'accompagner comme gardes du corps, l'un s'appelait Feng-hou, l'autre Chang-bo ; l'un portait des livres sur le dos et l'autre une épée précieuse. Huang Ti s'amusait ainsi dans ce monde avec distinction et aisance.

Alors, dans les traces de pas laissées par Huang Ti, il y a :

–le Ch'ing-ch'iu,

–le lac Tung-t'ing,

–le mont E-mei,

–le mont Wang-wu…

Plus tard, étant conscient du moment du retour au ciel, Huang Ti fit fondre un précieux récipient, en bronze à trois pieds et d'une taille gigantesque. (D'après une représentation taoïste, ce récipient servait à préparer l'élixir de longue vie, et cet art du raffinage s'est répandu depuis.) Le précieux récipient fut ouvragé, d'une toise et trois pieds de hauteur, sa contenance pouvait atteindre mille boisseaux de céréales. Sur la partie extérieure du récipient, il y avait un dragon sculpté qui prenait son envol dans les nuages, des lutins, des génies divins, des oiseaux rarissimes et des quadrupèdes extraordinaires.

Lorsqu'on donnait un banquet pour célébrer une victoire avec ce précieux récipient, les esprits divins du Ciel et les peuples des huit directions venaient tous à la fête.

Le moment de la montée au ciel arriva, Huang Ti en fut bien conscient, le ciel s'ouvrit brusquement, et un dragon divin portant une cuirasse en or bien étincelant pencha son corps depuis un nuage et fit descendre ses poils de barbe jusqu'au-dessus du précieux récipient.

À cet instant, Huang Ti et ses ministres (toutes les divinités qui étaient descendues dans ce bas monde), au nombre de plus de soixante-dix, tous prirent leur élan, entrèrent dans le nuage et se trouvèrent ensuite à califourchon sur le dragon divin, lequel s'éleva doucement en se dirigeant vers la cour céleste.

En voyant Huang Ti monter au ciel, un certain nombre de petits seigneurs et de gens qui restaient sur le sol voulaient également aller à la cour céleste avec lui. Ils étaient pourtant incapables de s'élever en bondissant dans le nuage, et ne réussissaient pas à monter à califourchon sur le dragon divin. Ils craignaient de rester en arrière pour se cramponner à la barbe du dragon. Celle-ci ne pouvant pourtant pas supporter tant de personnes, beaucoup d'entre elles tombèrent alors pêle-mêle à terre, et plusieurs poils furent même arrachés. Ceux-ci étaient tombés à terre et des herbes y poussèrent, on appelle donc ces derniers les herbes de poils de barbe du dragon (ou les joncs).

Voilà l'histoire de Huang Ti qui monta au ciel.

En outre, l'histoire de Liu An, prince de Huai-nan① , qui s'éleva dans le ciel, est aussi fort prodigieuse.

Durant la dynastie des Han, le prince de Huai-nan se passionnait pour les sciences occultes des immortels.

Alors, huit seigneurs, huit vieillards étranges, vinrent lui enseigner les sciences occultes de l'immortalité. Plus tard, Liu An eut réellement du succès dans la pratique de l'alchimie. Il but alors sa propre recette alchimique et monta avec ces huit vieillards au ciel en plein jour.

Il existait encore chez lui des remèdes alchimiques qui étaient déposés dans son jardin, dans des pots et des bols. Les poules et les chiens élevés dans la cour vinrent les picorer ou les lécher. Voici que l'effet se fit voir sur-le-champ : les poules s'élevèrent doucement, les chiens également volèrent comme une flèche, tous montèrent dans les nuages en devenant des animaux immortels.  

《Coqs et chiens montent au Ciel après que leur maître soit devenu immortel. 》 C'est une légende très célèbre.

Dans le bouddhisme tantrique, la Bonne Disparition de Padmasambhava, patriarche du tantrisme tibétain, est très connue :

 

Les quatre grands rois célestes descendirent du ciel en tenant les pieds d'un cheval céleste.

Padmasambhava monta sur le cheval céleste, s'éleva dans les airs et s'en alla.

 

Il laissa un propos célèbre :

 

Celui qui vénère le maître, estime le dharma et pratique diligemment le dharma obtiendra la Voie.

 

La Bonne Disparition est l'un des dix épithètes honorifiques du Bouddha. Le bon représente le bien, la disparition l'aller. Le bouddha Sâkyamuni s'exerçait dans la Voie droite, il est entré dans le nirvâna et s'en est allé pour un bon endroit (la Terre de l'immuabilité, de la quiétude et de la lumière), ce qui est la Bonne Disparition.

Aujourd'hui, nous pratiquons le Dharma tantrique du Vrai Bouddha, nous avons « à l'article de la mort, l'idée directrice » que le gourou nous a enseignée, c'est justement une conviction de la Bonne Disparition. Tout le monde doit mourir, personne ne peut y échapper, tous devraient connaître ce qu'est la mort et comprendre comment lui faire face et se diriger vers un état encore meilleur.

C'est :

–l'entrée dans le sentier de la vertu ;

–la pratique de la Voie bienfaisante ;

–la bonne délivrance ;

–la belle mort ;

–l'Éveil parfait.

Pour les véritables pratiquants de la perfection, lors de l'agonie, certains peuvent mourir de leur belle mort, sans subir ni maladie ni blessure, d'autres apprennent la date de leur décès par un esprit divin, certains sont habiles à quitter leur corps charnel, d'autres encore sont aptes à se réincarner en des bouddhas vivants. Pour les grands pratiquants, ils sont capables de mourir immédiatement après s'être assis, et de métamorphoser leur corps charnel en une lumière d'arc-en-ciel, ou de le transformer entièrement en reliques…

Quant à la plupart des gens, nous devons leur apprendre comment s'arracher au démon, comment donner des paroles avérées, comment réciter le nom du Bouddha, comment réciter les mantra, comment se sauver de l'état intermédiaire et comment transférer l'esprit par l'agrégat de lumière. Ils pourront procurer ainsi la Bonne Disparition.

 

 

 

 

①Liu An (179-122 av. J.-C.), prince de Huai-nan, titre confpar l'empereur Kao Tsu de la dynastie des Han de l'Ouest son fils.

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